L’enquête sur les pénalités, dans laquelle est entendu l’ex-président, porte sur le paiement par l’UMP, fin octobre 2013, des sanctions infligées à Nicolas Sarkozy pour le dépassement du plafond -22,5 millions d’euros- de ses dépenses durant la campagne perdue en 2012. Le rejet des comptes avait privé l’UMP du remboursement de plus de dix millions de frais de campagne.