"C’est un gros poisson pour l’antiterrorisme, inscrit sur la liste noire des jihadistes les plus dangereux pour l’ONU", indique Cécile Ollivier, journaliste spécialiste police-justice de BFMTV.
Voulant se rendre depuis des mois, "il a contacté les autorités françaises en disant qu’ils ne supportaient plus ces malades de l’État islamique et qu’il préférait encore les prisons françaises au régime de Daesh", rapporte Cécile Ollivier.
Source BFMTV