A travers le monde, l’histoire de la presse nous enseigne que cette activité scripturale s’est développée au prix des sacrifices des grands reporters, des journalistes de qualité et des éditorialistes qui ont écrit les lettres de noblesse de ce genre textuel, destiné à une diffusion de masse, érigeant cette activité dont le verbe est le corps, l’honnêteté l’âme, au rang d’autorité, à part entière, investie de la mission d’observer, de critiquer, de contester et de proposer, tout cela dans les règles de l’art et de l’éthique.
Or, à travers l’histoire et les sociétés, le faux a toujours été le corollaire du vrai. Sans trop verser dans des comparaisons platoniciennes, disons que le faux est indispensable, c’est un mal nécessaire ; c’est le reflet du vrai, de l’authentique. Du moins, une image pâle de la réalité sert à rappeler que l’authentique est là, imperturbable et inébranlable.
Dans le Maroc, d’aujourd’hui, en matière de presse d’opinion, on a nos faux à nous. Oui, chez nous, distinguer le bon grain de l’ivraie n’est pas si ardu. Les mauvaises herbes pullulent dans nos terreaux, fertilisés, semble-t-il, par la liberté d’expression consacrée, depuis longtemps, au Maroc.
Dépourvus de racines, et faute de pouvoir pénétrer le tissu ligneux, les guis de la presse s’attèlent à parasiter l’agora marocaine pour finir dans l’ignominie et la turpitude. En ces temps où tout est marketing et publicité, quoi de plus grave que de porter atteinte à l’image de son pays ? Quoi de plus honteux que de chercher la célébrité aux dépens de l’image des siens ? Quoi de plus bas que de s’atteler à saper tout l’effort de communication déployé pour présenter le Maroc moderne au monde, juste pour servir son égo, ou pour défendre des idées capricieuses aberrantes et perverses ?
Ahmed Réda Benchemsi, ou « ARB », comme il se plait à se surnommer, a pris, parait-il, l’allure des hommes dont les initiales connotent toute la grandeur. Si on était au XIXème siècle, notre « ARB » aurait payé pour avoir une particule nobiliaire, tant ses seigneurs ne lésinent pas sur les moyens. Or, « ARB » ne signifie pas plus qu’Ame Rebelle Burlesque. Son intervention sur le Maroc lors du « 2011 Oslo Freedom Forum » est un pur acte de mauvaise foi. Falsifiant la vérité, se livrant, avec bassesse, à un jeu d’images et de mots pour cacher la vérité apparente, il est allé à dire que le Maroc est une dictature avec un semblant de démocratie.
Ali Lmrabet, lui, fait de l’ombre aux médias de propagande du polisario, relayant, au quotidien, mensonges et falsification des faits. La désinformation pratiquée, sans limites, par le site demainonline est son fond de commerce.
Autre porte-voix du séparatisme, Ali Anouzla, dont le site lakome est réputé être la plateforme préférée du Prince Moulay Hicham où ses articles sont traduits et publiés en langue arabe.
Ali Ammar, lui, ne ménage aucun effort pour ternir l’image du pays et dénigrer, chaque fois qu’il le peut, tous les efforts déployés par le Maroc en matière de développement humain et de liberté d’expression.
Motivée par une quelconque haine, cette engeance est dans le déni total, le nihilisme aveugle, sans aucune volonté de participer aux réformes engagées dans le pays. Les Marocains ont compris le jeu périlleux de ces gens-là ! Qu’ont-ils apporté à leur pays ? Il est facile de critiquer, mais il n’est pas donné aux esprits bornés de construire et de proposer des solutions !
Les antéchrists de la presse marocaine se ressemblent et ainsi s’assemblent. Un Ahmed Réda Benchemssi, scandaleux et opportuniste; un Ali Ammar, petit esprit malentendant, sans science ni conscience, voleur d’ordinateurs ; un Ali Lmrabet, sans lendemain, petit laquais de service d’El Mundo ; un Ali Anouzla, à l’esprit sans scrupules, qui déprécie son pays aux seules fins de s’attirer l’éloge de ses commanditaires dans les camps de Lahmada ; un Boubker Jamai, éternel contestataire « croisé », sans projet ni fin, une Zineb El Rhazoui, autre pseudo-militante, une ratée, organisatrice malheureuse du pique-nique des déjeuneurs de Ramadan.
Tout ceux-ci ont saisi, dès les premiers jours de leurs carrières, que, faute d’être de grands journalistes, il faut être des écrivaillons à scandale, des plumes mise à l’encan ; Quel trafic honteux du verbe ! Quelle prostitution intellectuelle ! Quoi de plus dégradant que d’être un mercenaire de la plume ! Il y a une odeur fade chez ces gens-là ! Comme ils se mettent au service des desseins du « Prince rouge » ! Comme ils monnayent leurs plumes ! Comme ils ont tous empoché les bénéfices de leurs business scandaleux ! Tout est question de sous pour ces compères ! Ils reflètent toute la médiocrité humaine.
En vous demandant de bien vouloir publier cet article. Une réponse par courriel à cette demande serait appréciée. Cordialement. Farid Mnebhi.