Son indépendance, sa ligne éditoriale et les nombreux tabous bousculés ont vite fait de fidéliser un certain lectorat mais aussi de s’attirer les foudres d’un autre lectorat… On peut sincèrement se demander par quelle logique le magazine le plus populaire du pays peut-il subir un tel crash financier? Son directeur Ahmed Reda Benchemsi évoque un boycott financier en affirmant une chute des recettes publicitaires de 77%.
D’autres préfèrent parler de problèmes de gestion… Quelles que soient les raisons, un journal est mort et c’est bien triste car, avec lui, c’est une partie de nous qui s’en va!
S.E.K