Le film a été tourné sur la base d’une réplique simple proposée par les organisateurs du festival en tant que catalyseur des créations: " Ah, cela me navre, mais pourquoi ne pas me l’avoir dit plus tôt ? ".
Il raconte en moins de six minutes l’histoire d’une touriste espagnole qui voulait nettoyer son appareil photo endommagé par des grains de sable à Merzouga, mais ne s’est pas faite comprendre par le réparateur.
Après une petite discussion, la touriste espagnole saura que la langue française peut être un idiome commun, et prononcera vers la fin la réplique du festival " Ah, cela me navre, mais pourquoi ne pas me l’avoir dit plus tôt ? ".
" Notre participation dans ce festival est juste une heureuse coïncidence, et nous espérons que cette distinction soit une motivation personnelle, mais aussi un stimulant pour les jeunes créateurs de la région ", a déclaré Hamdaoui Alaoui.
Outre un film documentaire intitulé " Soldat à l’ombre ", Mohamed Hamdaoui Alaoui qui avait suivi une formation en audiovisuelle en France, compte à son actif trois autres courts-métrages : " Entre deux mondes ", " A travers fenêtres " et " Au profit d’autres ".
Source MAP