BP s’apprêtait mardi à boucher définitivement le puits à l’origine de la plus gigantesque marée noire aux Etats-Unis, ce qui devrait lui permettre de se concentrer désormais sur les conséquences écologiques de la catastrophe dans le golfe du Mexique. Les ingénieurs du groupe pétrolier doivent encore conduire un dernier « test d’injection », avant l’opération de « static kill » consistant à injecter des liquides et des matières solides dans le puits endommagé, puis à le cimenter. BP a annoncé lundi soir que la découverte d’une petite fuite hydraulique au niveau du couvercle du puits allait retarder le déroulement de l’intervention. Toutefois, le géant britannique prévoit toujours de débuter mardi l’opération.
Article précédent
Marrakech, un modèle en matière de réhabilitation des médinas