"Des tensions religieuses régionales (entre sunnites et chiites) seraient un suicide pour toute la région", a souligné Davutoglu dans une déclaration à l’Agence de presse turque "Anatolie" avant son départ pour l’Iran pour une visite officielle de deux jours.
"Il y a des parties qui souhaitent déclencher une guerre froide régionale", a-t-il dit, ajoutant que "la Turquie est contre toutes les polarisations au Moyen-Orient. C’est l’un des messages que je délivrerai à Téhéran".
Outre l’Iran, Davutoglu prévoit de se rendre dans un mois en Russie et aux Etats-Unis et de tenir des réunions avec des représentants de l’Union européenne et les pays du Golfe.