Moustafa Suleiman a également estimé que l’ancien raïs n’a rien fait pour empêcher ces morts, alors qu’il était mis au courant par ses conseillers, les agences de sécurité et les chaînes de télévision.
Le chef de la sécurité de Moubarak et l’ancien ministre de l’Intérieur Habib el-Adli ont autorisé l’utilisation d’armes chargées contre les manifestations sur ordre de Moubarak.
Moubarak et el-Adli risquent la peine de mort en cas de condamnation pour complicité de meurtre des manifestants.
