Tunis a rouvert cette frontière fin août, lorsque les forces du CNT se sont emparées de Tripoli, mais le risque de dissémination de l’arsenal libyen reste un motif de préoccupation pour les pays de la région et les puissances occidentales.
"Nos efforts combinés visent à assurer la sécurité des deux côtés de la frontière", a déclaré le président du CNT, s’adressant à la presse en compagnie du chef du gouvernement tunisien.
"La sécurité de la Tunisie réside en partie en Libye. Jusqu’à présent, tout se passe bien", s’est félicité ce dernier.
Les autorités nigériennes ont jugé la situation "explosive" en qui concerne le trafic d’armes et Alger redoute qu’Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) n’en tire parti.