"Les choses peuvent paraître plus faciles à régler en l’absence du colonel Kadhafi et d’un procès", a relevé l’ancien Premier ministre sur RTL, en faisant le parallèle avec Ousama ben Laden. "L’histoire montre que ce n’est pas toujours vrai, qu’il y a des morts qui grandissent, même s’ils sont diaboliques, et qui continuent à peser sur l’histoire de leur pays", a-t-il commenté.
