La mort d’al-Aoulaki, tué dans un raid aérien contre son convoi au Yémen, représente un "coup majeur porté à la filiale opérationnelle la plus active d’Al-Qaida", a souligné le président Obama en allusion à l’AQPA, responsable au cours des deux dernières années de plusieurs attentats manqués ayant visé le territoire US.
Obama a également estimé que la mort de cet imam radical d’origine américaine, surnommé par les médias américains "le Ben Laden de l’Internet" en raison de son utilisation assidue du Web pour le recrutement de jihadistes, représente un "hommage à notre communauté du renseignement", confirmant ainsi tacitement l’implication des services de renseignement US dans l’élimination du chef d’AQPA.