"Ce n’est pas un homme cruel primitif ou sadique, la violence ne fait pas partie de sa culture, il aime le sexe, so what (en anglais dans le texte)? Ca ne me semble pas un délit, parfois les corps expriment plus que les mots", affirme l’écrivaine dans une lettre ouverte au Corriere della Sera. "Je ne voudrais pas que Dominique Strauss-Kahn devienne le bouc-émissaire d’un certain puritanisme américain, anti-européen et anti-français", ajoute-t-elle.