Aujourd’hui, aucune plainte n’a été enregistrée au parquet d’Evry", a indiqué ce parquet, interrogé par l’AFP.
Défendues par Me Gilbert Collard, les deux employées dénoncent les nombreux gestes déplacés du maire après leur embauche.
Sous couvert de réflexologie, massage thérapeutique des pieds, Georges Tron se serait permis de leur caresser les pieds en toutes circonstances. Des "massages" qui se sont transformés, selon les plaignantes, en agressions sexuelles.
Profondément choquées, les deux femmes sont devenues dépressives au point de tenter de se suicider. Contacté par Le Parisien, Georges Tron qualifie ces allégations de "délirantes" et fustige une "vengeance personnelle".
Sollicité par l’AFP, M. Tron a répondu: "j’apprends cette affaire avec stupéfaction dans la presse", ajoutant avoir "découvert dans le Parisien le nom de deux personnes que j’identifie parfaitement qui ont, dans des situations différentes, eu maille à partir avec la collectivité qui les employait". Il a indiqué avoir confié ce dossier à son avocat Me Olivier Schnerb.