Interrogé sur iâtélé sur cette une, il a répondu : "Vous parlez d’un journal et l’outrance pour faire vendre du papier, je vous le dis, n’impressionne pas du tout la France."
La France, son économie où le poids de l’Etat reste important et les réticences de ses responsables politiques à se lancer dans de grandes réformes structurelles sont des cibles récurrentes du très libéral The Economist.
Il avait déjà frappé fort lors de la dernière campagne présidentielle avec un article consacré à "La France en déni, l’élection la plus frileuse d’Occident", pour critiquer ensuite un pays "léthargique et non réformé pourrait bien se retrouver au centre de la prochaine crise de l’euro."
The Economist avait affiché avant le vote sa préférence pour Nicolas Sarkozy afin de barrer la route au "plutôt dangereux M. Hollande."