En réponse à une question sur l’utilisation éventuelle par Damas d’armes chimiques et la réaction qu’aurait alors Téhéran, le ministre iranien des affaires étrangères Ali Akbar Salehi a répondu que "si cette hypothèse se vérifiait (..), ce serait la fin de tout".
"Si un pays quel qu’il soit, y compris l’Iran, utilise des armes de destruction massive, c’est la fin de la validité, de la légitimité (..) de ce gouvernement", a-t-il affirmé.
M. Salehi, qui participait à un débat organisé par le Council on Foreign Relations, un centre d’études américain, a ajouté: "Les armes de destruction massive, nous l’avons dit, sont contre l’humanité, c’est quelque chose qui n’est pas acceptable du tout".