Alors que Barack Obama avait déclaré il y a un an, que l’utilisation par le régime syrien d’armes chimiques constituerait une «ligne rouge» qui ne doit pas être dépassée, le président américain a demandé à ses services de renseignement d’enquêter. À Washington comme à Paris, une intervention massive au sol est jugée hors de question.
Le conflit qui a fait depuis mars 2011 plus de 100 000 morts, poussé à la fuite des millions de Syriens et dévasté le pays.
