Avramenko a été contrôlé positif à la "déhydrochlorométhyltestostérone", précise l’IAAF dans un communiqué diffusé sur son site internet.
Ce même produit dopant a été retrouvé dans les urines de la Turkmène Yelena Ryabova (6ème de la 3ème série du 200m dames).
Les analyses ont mis à jour trois cas de prise d’EPO avec l’Iranien Ebrahim Rahimian (52ème du 20 km marche), le Guatémaltèque Jeremis Saloj (33ème du marathon) et la Kazakhe Ayman Kozhakhmetova qui a de plus eu recours à de la testostérone exogène pour prendre la 27ème place du 20km marche.
Par ailleurs, l’IAAF confirme que 1.919 échantillons sanguins ont été prélevés à l’occasion des Mondiaux, "à des fins de profilage pour les besoins du passeport biologique de l’athlète".