C’est une crevaison de cette dernière à une heure de l’arrivée, après être partie en pole et avoir mené presque toute la course, qui a offert un deuxième succès consécutif à Alonso, également sacré champion du monde pilotes avec ses équipiers après ce succès.
Jose Maria Lopez, qui conduisait la voiture N.7 et semblait avoir course gagnée, a dû ralentir et s’arrêter au stand pour changer son pneu crevé. Il a ainsi perdu les quelques minutes d’avance qu’il possédait sur l’autre bolide de l’écurie japonaise, conduit par Kazuki Nakajima, qui en a immédiatement profité pour prendre la tête.
Même avec le jeu des derniers arrêts aux stands, la N.8 a remporté l’épreuve avec une quinzaine de secondes d’avance au terme de 385 tours de course.
Alonso/Buemi/Nakajima avaient déjà remporté les 24h l’an dernier en devançant Conway/Kobayashi/Lopez, qui tentaient d’obtenir dimanche leur première victoire dans la légendaire épreuve d’endurance automobile.
Ils s’assurent également le titre pilotes du championnat du monde d’endurance (WEC) 2018/2019, Toyota l’ayant obtenu comme constructeur lors de la précédente épreuve disputée en mai en Belgique.