"C’est compliqué de déplacer le Premier ministre, et c’est cher. Je comprends parfaitement à la fois la surprise et les interrogations que se posent les Français", a-t-il déclaré sur RTL, justifiant notamment le vol par le besoin d’être de retour en métropole avant le départ d’Emmanuel Macron en Algérie le 6 décembre. (afp)
Edouard Philippe "assume complètement" le recours à un vol privé à 350.000 euros entre Tokyo et Paris pour le ramener, lui et sa délégation, de Nouvelle-Calédonie, a-t-il affirmé mercredi matin, reconnaissant qu’il est "compliqué" et "cher" de déplacer un Premier ministre.