"C’est compliqué de déplacer le Premier ministre, et c’est cher. Je comprends parfaitement à la fois la surprise et les interrogations que se posent les Français", a-t-il déclaré sur RTL, justifiant notamment le vol par le besoin d’être de retour en métropole avant le départ d’Emmanuel Macron en Algérie le 6 décembre. (afp)