"On a vu un tempérament. Il s’est montré soucieux de collégialité, d’action collective, et est resté ferme sur les principes et exigences qu’il pose. Mais c’est trop tôt pour voir si cette diplomatie fonctionne", a jugé Dominique de Villepin. "On ne peut rien seul aujourd’hui, cette nécessité d’action collective me paraît importante", a-t-il répété, se félicitant que François Hollande ait réussi à "faire émerger au G8 cette volonté de croissance".