Ce pistolet à impulsion électrique, censé permettre de maîtriser des personnes sans risque mortel, envoie des "dards" qui propagent une forte décharge. L’arme a obtenu un agrément officiel pour équiper police, gendarmerie et police municipale, mais elle est au centre d’une polémique depuis plusieurs années.
Un Malien de 38 ans est mort lundi soir près de Paris après avoir reçu deux tirs de Taser tirés par des policiers qui tentaient de le maîtriser lors d’une interpellation, a-t-on appris mardi à la préfecture de police.