« Trahie » par François Hollande, Ségolène Royal évoque « la violence de l’adultère »

En 2007, peu de temps après l’élection présidentielle, Ségolène Royal se sépare de François Hollande, sa moitié durant près de trente ans. Une rupture douloureuse précipitée par la double vie que mène l’élu socialiste. Une période difficile évoquée publiquement par l’ancienne ministre de l’Ecologie dans un livre intitulé « Ce que je peux enfin vous dire ».

Publier un livre, c’est presque un passage obligé pour les personnalités politiques françaises de premier plan. Certains ouvrages centralisent davantage l’attention notamment si la vie privée (devenue publique) de l’auteur s’est avérée mouvementée. Et si, en plus, l’ex-conjoint est un ancien président de la République et que la relation s’est terminée en raison d’un adultère… L’intérêt est assuré.

Depuis quelques jours, les extraits du nouveau livre de Ségolène Royal relatant sa rupture avec François Hollande sont particulièrement commentés dans les médias français.

"Comme tout le monde le sait maintenant, j’avais été cruellement trahie avant et pendant la campagne présidentielle de 2007 pour une femme de dix ans plus jeune", lance sans détour celle qui s’est inclinée, cette année-là, au deuxième tour de l’élection présidentielle face à Nicolas Sarkozy.

"J’aurais dû mettre fin à cette situation dès le début de la campagne et me séparer", regrette Ségolène Royal qui évoque "la violence de l’adultère, et la férocité de la bigamie qui tétanise." Pour rappel, à cette époque, François Hollande entretient une liaison avec la journaliste Valérie Trierweiler.

Il se sépare de la journaliste en 2014, moment où les premières rumeurs de son idylle avec Julie Gayet circulent dans la presse.

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