Le numéro deux de l’institution panarabe, Ahmed Ben Helli, a précisé samedi que cette réunion prévue mardi avait été avancée à dimanche en raison des développements dans le dossier syrien.
Le secrétaire d’Etat américain John Kerry a d’ailleurs cité vendredi l’organisation panarabe parmi les alliés possibles pour une telle action armée, alors que de nombreux pays, dont trois grandes membres du Conseil de sécurité de l’ONU -Grande-Bretagne, Chine et Russie- y sont opposés.
L’opposition syrienne et des pays occidentaux accusent le gouvernement de Bachar al-Assad d’avoir tué des centaines de personnes en faisant usage de gaz toxiques le 21 août dans la Ghouta, prés de Damas. Accusations rejetées par les autorités syriennes qui imputent cette attaque aux rebelles.
Outre le conflit syrien, des questions politiques, économiques et de sécurité ainsi que le conflit arabo-israélien figurent à l’ordre du jour de la réunion de dimanche.