"J’ai besoin que le président (Assad) agisse maintenant, et que les autres parties fassent leur part du travail", a déclaré M. Annan lors d’une conférence de presse à l’issue de la rencontre à Damas.
"J’ai appelé le président syrien "à prendre des mesures courageuses maintenant — pas demain, maintenant — en vue de créer les conditions nécessaires à la mise en oeuvre du plan" de sortie de crise, a-t-il affirmé ajoutant :"nous sommes à un moment charnière".
Après avoir rencontré M. Annan, Assad a de nouveau rejeté sur l’opposition la responsabilité des violences indiquant que "le succès du plan dépend de la fin du terrorisme (…) et de l’arrêt de la contrebande d’armes".
En 14 mois, les violences ont fait plus de 13.000 morts, dont plus de 1.800 depuis le début de la trêve, selon l’OSDH.