"Le protocole de la mort, un permis de tuer", ont écrit sur leur page Facebook les militants qui animent depuis plus de neuf mois la contestation contre le régime du président Bachar al-Assad. Selon eux, le régime a profité de la signature du protocole pour intensifier les opérations militaires "barbares" qu’il mène depuis le début de la contestation contre les villes rebelles.
L’opposition syrienne a recensé 250 morts au moins durant les 48 heures qui ont suivi la signature au Caire de ce protocole.