Sarkozy ne profite pas de l’affaire DSK

La chute de DSK ne profite pas au chef de l’État. Il est nettement devancé par François Hollande et reste sous la menace de Marine Le Pen.

Pas d’effet DSK pour Nicolas Sarkozy. La chute du socialiste, champion des sondages, ne crée pas le frémissement espéré –sinon attendu par l’Élysée– dans le sondage Ifop-JDD sur les intentions de vote pour l’élection présidentielle. Un mois après l’inculpation du patron du FMI pour agression sexuelle, les candidats du PS (François Hollande ou Martine Aubry) devancent toujours plus ou moins nettement le président sortant, qui reste sous la menace de Marine Le Pen. Si l’affaire DSK a sidéré l’opinion et provoqué un sursaut féministe, les Français ne semblent pas décidés –du moins pour l’instant– à offrir un second mandat présidentiel à Nicolas Sarkozy.

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