Dans le détail, le président a été jugé convaincant sur les relations France-Allemagne (69%), "la nécessité de la mise en place du principe de réciprocité" (61%), la "nécessité de la réforme des retraites" (60%), la "situation de la Grèce et l’effacement de la moitié de la dette" (60%), "le non remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite" (57%), le fonds de stabilité européen (55%), "le refus de la hausse généralisée de la TVA" (54%) notamment.
A l’inverse, il n’a pas été jugé convaincant sur le "budget déficitaire de la France et les mesures d’économie à mettre en place" (49%), sur "sa possible candidature à la présidentielle de 2012" (52%), sur la "réindustrialisation de la France" (52%) et sur le "financement de la campagne électorale d’Edouard Balladur" (62%) en 1995.