Roméo Langlois qualifie son enlèvement d’« accident professionnel »

Le journaliste français Roméo Langlois, libéré mercredi par la guérilla des Farc dans le sud de la Colombie, a écarté jeudi toute responsabilité de l’armée dans son enlèvement, préférant évoquer un « accident professionnel », au cours d’une conférence de presse à Bogota. « Je soutiens totalement l’armée colombienne. Elle n’est d’aucune manière responsable de ce qui m’est arrivé », a déclaré le journaliste devant ses confrères réunis à l’ambassade de France à Bogota.

Laisser un commentaire

Votre adresse email ne sera pas publiée.

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte Lire la suite