Revoyant son bilan de la nuit à la hausse, la préfecture a ajouté qu’une vingtaine de commerces ou bâtiments publics avaient été dégradés, dont deux pharmacies pillées. Pour le directeur de cabinet du préfet, Benoît Huber, "il y a eu moins de casseurs, mais une radicalisation des violences".
Les violences se sont aggravées dans la nuit de jeudi à vendredi à La Réunion, touchant la moitié des communes de l’île, où 9 policiers et un gendarme ont été blessés et 76 interpellations effectuées, a annoncé la préfecture à l’AFP.