Nommé par Emmanuel Macron en septembre 2017 pour préparer la réforme des retraites, M. Delevoye considère que la "confiance est fragilisée sous les coups d’attaques violentes et d’amalgames mensongers" et qu’à travers son "procès", on "veut porter atteinte au projet" qu’il juge "essentiel pour la France", explique-t-il dans une déclaration transmise à l’AFP. Il sera remplacé "dans les plus brefs délais", a précisé l’Elysée.
Nommé par Emmanuel Macron en septembre 2017 pour préparer la réforme des retraites, M. Delevoye considère que la "confiance est fragilisée sous les coups d’attaques violentes et d’amalgames mensongers" et qu’à travers son "procès", on "veut porter atteinte au projet" qu’il juge "essentiel pour la France", explique-t-il dans une déclaration transmise à l’AFP. Il sera remplacé "dans les plus brefs délais", a précisé l’Elysée.