La plus haute juridiction criminelle, dans un arrêt obtenu par l’AFP, "déclare irrecevable la demande de libération conditionnelle". Elle estime que M. Abdallah "ne pouvait se voir accorder une libération conditionnelle sans avoir été obligatoirement préalablement soumis, à titre probatoire, à une mesure de semi-liberté ou de placement sous surveillance électronique pendant une période d’un an au moins
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