L’ONG de promotion de la paix de l’ex-président américain Jimmy Carter, qui a envoyé 20 observateurs électoraux en RDC, a notamment relevé les retards dans l’enrôlement des électeurs, la validation du nombre d’inscrits, le vote par le Parlement de la répartition des sièges pour les législatives.
Le Centre Carter s’inquiète particulièrement du nombre "très élevé" de candidats aux législatives -près de 18.500 pour 500 sièges-, représentant un "défi majeur pour la conception, l’impression et la distribution des bulletins de vote" dans un pays grand comme près de quatre fois la France mais manquant d’infrastructures.
""La date du 28 novembre, nous y travaillons", a déclaré dimanche à l’AFP Jacques Djoli, vice-président de la Céni. "C’est un défi, mais je crois que nous y arriverons", a-t-il ajouté.