"Si nous arrivons au pouvoir, il est certain qu’au bout de six mois maximum la France aura une monnaie nationale", a-t-il promis.
"Il y a deux possibilités: soit parce qu’elle aura réussi à transformer l’Union européenne radicalement en une Europe des Nations libres et souveraines (…) soit parce qu’on aura quitté l’Union européenne si l’Europe ne veut pas se réformer, par referendum", a-t-il expliqué.
A l’issue d’un séminaire de deux jours et demi de discussions à huis clos début février dans l’Essonne, avec une cinquantaine de cadres dirigeants, le FN avait maintenu la sortie de l’euro à son programme, bien qu’elle soit critiquée en interne par certains qui craignent qu’elle rebute les électeurs et les milieux économiques.