La position de Paris ne change pas : aucune rançon n’a été versée contre la libération des quatre otages retenus au Sahel, assure Jean-Yves Le Drian au micro de RTL. "Dans cette période, l’imagination est extrêmement fertile, je m’en tiens à ce que j’ai vécu", explique-t-il. "La France a toujours eu la même ligne depuis trois ans : on ne paye pas, parce que sinon on entre dans une autre logique."
