Tout simplement que qu’une partie de la population marocaine séquestrée dans les camps de la honte de Tindouf ont été entendue. Le Conseil de Sécurité de l’ONU a adopté une résolution qui proroge pour un an le mandat de la MINURSO. Mais le plus important, est qu’elleprécise, pour la première fois, la nécessité d’améliorer les droits de l’homme.
Pour rappel, le Maroc avait demandé d’inscrire cette question lors de la dernière discussion informelle ; ne proposition rejetée fermement par le Polisario et l’Algérie.
Si les dix rounds de discussions informelles sous l’égide de l’ONU, tenues depuis avril 2007, n’ont pas permis de mettre fin à l’impasse, la responsabilité est à mettre sur le compte de l’Algérie et de ses affidés du Polisario, qui bafouent les droits humains les plus élémentaires de citoyens marocains privés de liberté et séparés de leurs proches.
Par ailleurs, le Conseil de Sécurité de l’ONU s’est félicité de l’établissement d’un Conseil National Marocain des Droits de l’Homme et de sa partie proposée concernant le Sahara Marocain.
La réponse à la question posée en supra est : la communauté internationale vient de reconnaître qu’une partie de la population est confinée contre leur gré sur une parcelle de Tindouf par des terroristes et mercenaires du Polisario, avec l’aide des autorités algériennes, et qu’elle set persucitéee et que son droit au retour dans son pays qu’est le Maroc doit être respecté.
Farid Mnebhi.