Dans un communiqué, l’Elysée a assuré que le chef de l’Etat n’avait "jamais exercé la moindre responsabilité dans le financement de cette campagne", dont il était le porte-parole, et que son nom "n’a été cité par aucun témoin ou acteur de ce dossier". "Tout le reste n’est que calomnie et manipulation politicienne", a ajouté l’Elysée
Harlem Désir, premier secrétaire par intérim du Parti socialiste, a estimé jeudi que les mises en examen de Thierry Gaubert et Nicolas Bazire étaient "la marque d’une inacceptable déliquescence morale du clan au pouvoir".