Dans son rapport administratif daté de juillet sur l’intervention policière, l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) écrivait que le "téléphone déclenchait un relais téléphonique à 03H16" soit plus d’une heure avant l’action des forces de l’ordre. Le Premier ministre Edouard Philippe avait fait valoir que le rapport de l’IGPN n’établissait "pas de lien" entre l’intervention controversée des forces de l’ordre et la disparition du jeune homme de 24 ans.
