L’homme "a été arrêté au saut du lit par les hommes de la section valentinoise de la police judiciaire de Lyon : "Son appartement a été perquisitionné, son ordinateur saisi et il a été placé en garde à vue", raconte le Dauphiné Libéré qui a révélé l’affaire.
Âgé d’une quarantaine d’année, l’homme "a l’interdiction d’entrer en contact avec la victime et comparaîtra le 3 décembre pour outrage à personne chargée d’une fonction publique", écrit le Dauphiné. Le procureur de la République de Valence, cité par le quotidien régional, estime que tout cela est normal : "L’outrage est caractérisé dès lors qu’une expression est de nature à rabaisser la considération réservée à une personne publique. En l’espèce, c’est Mme Dati en tant que députée européenne, qui est visée à travers sa messagerie." L’avocat de la défense estime au contraire qu’il s’agissait d’un message privé adressé à la personne et non pas à l’élue…