"Nous avons pris position comme nous devions le faire. Mais on n’est pas toujours obligé d’être physiquement présent pour manifester qu’on s’intéresse à une question aussi douloureuse soit elle", estime-il. Selon le président de la Conférence des évêques de France le nécessaire a été fait pour sensibiliser la communauté catholique à ces événements. "Nous avons organisé des rencontres des prières et montré toutes nos sympathies aux victimes", poursuit-il.
