Selon un communiqué du ministère de l’Intérieur, les premiers éléments de l’enquête ont révélé que les quatre membres de cette cellule, originaires de Meknès, Tétouan, Martil et Akouray, comptaient mettre à profit les connaissances militaires acquises par l’un d’entre eux sur la scène syro-irakienne, dans les zones de conflit ou dans les camps militaires de l’organisation dite "Etat Islamique" (EI), en vue de perpétrer une série d’attaques terroristes ciblées.
Les mis en cause seront déférés devant la justice une fois achevée l’enquête menée sous la supervision du parquet général compétent, ajoute la même source.