« Mais nous allons aussi recruter des Marocains à l’extérieur car le pays, n’ayant pas de tradition automobile, ne dispose pas de tous les profils recherchés », poursuit Mohamed Bachiri. Les jeunes diplômés marocains des grandes écoles francophones sont particulièrement visés. « Nous sommes allés dans des salons de recrutement à Lyon, Paris et même Montréal. » À ce jour, Renault annonce avoir recruté une vingtaine d’ingénieurs marocains diplômés à l’étranger.