"J’étais là quand il a proposé aux Européens une intervention militaire en Libye. Ils ont hésité, chipoté, il a insisté et c’est une victoire personnelle et pour la France", a ajouté la nouvelle première vice-présidente du Parti radical de Jean-Louis Borloo.
Même si le président avait accueilli en grande pompe le dictateur libyen en 2007 ? "Oui. Mais depuis, il a évolué et pour moi, c’est un symbole fort qu’il ait décidé de l’intervention militaire. C’était important que cela vienne de France, le pays des droits de l’Homme", a insisté Rama Yade.