"Nous avons beaucoup d’intérêts communs. Nous avons sur certaines situations internationales ou régionales des approches qui sont différentes, mais je considère que l’Algérie et la France n’ont pas aujourd’hui de relations tendues", selon le chef de la diplomatie algérienne.
Les deux pays "sont en train d’aller de l’avant" et examinent les moyens de "travailler mieux ensemble", s’est réjoui M. Medelci qui a indiqué avoir échangé avec son homologue Alain Juppé des invitations à se rendre à Paris pour l’un et à Alger pour l’autre.