"Nous avons dit clairement que nous aurions de sérieuses inquiétudes si la Russie devait frapper des zones où il n’y a pas d’opérations de l’EI et de (groupes) affiliés à Al-Qaïda", a-t-il déclaré lors d’une réunion du Conseil présidée par son homologue russe Sergueï Lavrov, quelques heures après les premiers bombardements russes en Syrie.

