"Les résultats du second tour (de la présidentielle) dicteront mon choix", explique-t-il dans les colonnes du bihebdomadaire. Et l’ancien champion olympique de Montréal en 1976 se présenterait cette fois avec son étiquette, "celle d’un gaulliste de gauche, car maintenant je suis un homme libre". S’il admet dans l’interview qu’il accordera sa voix, le 6 mai, à Nicolas Sarkozy, il est beaucoup plus critique à l’encontre de celui qui lui a succédé à la députation. "Depuis qu’il siège à l’Assemblée nationale, il n’a rien démontré", juge-t-il.
