
Comme le PJD marocain et le parti tunisien Ennahda, il plaide pour l’ouverture. « Il faut s’ouvrir sur l’environnement national, régional et international, sur tous les courants, sans exclusive, mais qui rejettent l’extrémisme. (…) Il faut s’ouvrir sur les autres courants pour rechercher la complémentarité et la coopération et ne plus se renfermer sur soi », a estimé le responsable du MSP. A propos de l’alliance présidentielle qu’il compose avec le RND et le FLN depuis 2004, le MSP soutient que « sa survie » est liée à sa « transformation en partenariat politique ». Tout en estimant que les réformes politiques « doivent être aussi profondes que possible », il a appelé à un grand front « contre la fraude ». « Tous les partis politiques agréés sont appelés à participer à ce front pour faire respecter la volonté populaire exprimée à travers les urnes », a déclaré Soltani.