"Utiliser ces événements pour intervenir est quelque chose que nous ne pouvons accepter", a indiqué M. Moussa lors d’une conférence de presse à Bagdad. "Il y a une différence entre le fait de montrer son intérêt et sa compassion, et l’exploitation d’un sujet", a-t-il poursuivi, au côté du chef de la diplomatie irakienne, Hoshyar Zebari.
"Ce qui s’est passé nous préoccupe beaucoup", a-t-il ajouté en référence à l’attaque de l’église copte d’Alexandrie (Egypte), qui a fait 21 morts dans la nuit du nouvel an, affirmant que les chrétiens "font partie du monde arabe et il faut les protéger".