« Cette visite vient renouveler l’engagement du Groupe de la Banque africaine de développement à renforcer le partenariat d’exception qui unit le Maroc à l’institution durant plus d’un demi-siècle – résultats à l’appui au bénéfice de la population », indique jeudi un communiqué de la BAD .
« Le Maroc est source d’inspiration. Un pays qui apporte la preuve qu’avec de l’ambition, de la volonté et des ressources, l’émergence peut devenir une réalité », a déclaré le président du Groupe de la Banque africaine de développement, cité par le communiqué. « Le Royaume est notre premier partenaire avec un important portefeuille d’opérations de premier ordre qui le positionnent en tant que leader, dans de multiples domaines, sur le continent », ajoute-t-il.
Au second jour de sa visite, poursuit la même source, le président de la BAD assistera à l’Assemblée générale d’Africa50, fonds panafricain dédié aux infrastructures basé à Casablanca, en sa double qualité de président du Groupe de la Banque africaine de développement et de président du Conseil d’administration du fonds, créé à l’initiative de la Banque.
Cette visite s’achèvera par sa participation au Sommet des affaires États-Unis-Afrique qui débute le 19 juillet à Marrakech, sous le thème : « Construire l’Afrique ensemble ».
Lors de son séjour, le président de la Banque rencontrera de hauts responsables, ainsi que des représentants du secteur privé. Il s’entretiendra également avec des partenaires de développement et des parties prenantes de premier plan, selon le communiqué.
Durant cette visite, M. Adesina sera accompagné de la vice-présidente en charge du Développement régional, de l’intégration régionale et de la prestation de services, Yacine Diama Fal, et du vice-président chargé du Complexe du secteur privé, de l’infrastructure et de l’industrialisation, Solomon Quaynor.
Le Groupe de la Banque africaine de développement intervient au Maroc depuis plus de cinquante ans. Les opérations couvrent la santé, l’agriculture, l’énergie, l’eau, les transports, le développement humain et le secteur financier totalisant plus de 12 milliards d’euros de financement.