"Le ministre de la Défense a émis l’ordre" de détruire un tel missile "s’il se confirmait qu’il tombe sur le territoire japonais", souligne le ministère dans un communiqué.
Le ministre Gen Nakatani a pris cette décision après la confirmation par la Corée du Nord d’un projet de lancement d’un "missile qu’elle appelle +satellite+ dans les prochains jours", ajoute le communiqué. L’ordre doit être exécuté par la défense anti-missiles du pays, qui comprend un système sol-air PAC-3 ainsi que des systèmes SM-3 embarqués sur des navires, précise le texte.
Cette disposition sera maintenue jusqu’au 25 février, fin de la fenêtre de tir débutant le 8 annoncée par Pyongyang.