L’alliance des pro Morsi a ainsi rencontré pendant près d’une heure au Caire le nø2 du département d’Etat, William Burns, l’ambassadrice des Etats-Unis en Egypte, Anne Patterson, et l’émissaire spécial de l’Union européenne, Bernardino Leon.
Les partisans de l’ancien président ont estimé que le général Abdel Fattah al Sissi, chef d’état-major de l’armée et véritable homme fort du nouveau régime, ne devait pas faire partie d’un quelconque futur accord politique.
Ils souhaitent également une solution fondée sur la Constitution qui a été suspendue par l’armée après le 3 juillet et réclament une période de calme de manière à rétablir un climat de confiance ainsi que la libération des "détenus politiques".
